L'horeca enregistre une hausse rapide des demandes en snacks végétariens. Pour autant, beaucoup d'opinions erronées subsistent à leur propos – tant auprès des restaurateurs que de la clientèle. Cet article va vous aider à tordre le cou aux bobards et à mieux répondre aux attentes des clients.
D'après une enquête réalisée par iVOX pour le compte de Proveg, un consommateur belge sur trois a l'habitude de prendre au moins un repas végétarien par semaine. N'empêche, les erreurs d'appréciation à leur propos demeurent nombreuses. Il est temps de clarifier la situation.
Beaucoup de gens sont persuadés que les snacks végétariens sont incapables d'égaler le goût des snacks carnés. Pourtant, rien n'est moins sûr ! Ils sont désormais aussi savoureux les uns que les autres, au point qu'il est difficile de les distinguer.
C'est le cas des snacks végétariens de Mora : ils présentent la structure habituelle de la viande filandreuse et les saveurs d'un bon ragoût. Pourtant, ils sont préparés sans utiliser le moindre gramme de viande. Pour aboutir à cette recette, Mora, avec la complicité du Boucher Végétarien, a longuement cherché la juste composition des épices, des fibres et d'autres ingrédients. Les boulettes apéro et croquettes végétariennes de Van Dobben conservent ce goût authentique, mais sans viande.
Conclusion : Savamment assaisonnés et préparés selon la bonne recette, les snacks végétariens sont de vrais délices.
Beaucoup de restaurateurs demeurent dubitatifs à propos des substituts de viande. C'est normal : le terme lui-même laisse croire qu’ils doivent se priver de quelque chose. Mais lorsqu’on sait que ces ersatz de viande sont souvent moins chers et offrent une palette de saveurs plus large que les viandes ordinaires, il est temps de réanalyser la situation.
Il existe deux sortes de substituts de viande :
Les ingrédients de base de ces produits prêts à l'emploi sont souvent le soja, le lupin, les graines et légumineuses (pois chiches, etc.). Ils se déclinent en une palette diversifiée d'odeurs, de couleurs et de goûts. Tout cela augmente la créativité.
Conclusion : Il faut rayer de ses pensées la croyance selon laquelle les substituts de viande seraient un frein à la créativité en cuisine.
Autres ingrédients, autres modes de préparation. C'est du moins ce que pensent beaucoup de gens. Et c'est généralement vrai pour les substituts de viande, dont la cuisson est souvent plus rapide et se tient à feu plus doux.
Mais chez Van Geloven, on fait tout pour éliminer les difficultés et faciliter la vie des restaurateurs. C'est pourquoi nous avons voulu que le mode et la durée de préparation de nos snacks végétariens soient aussi proches que possible de ceux des snacks ordinaires. Ainsi, vous n'avez rien à changer à vos habitudes et ne devez pas tout réapprendre au personnel de cuisine. Faites comme vous avez toujours fait…
Conclusion : Rien de compliqué à cuire des snacks végétariens, car seules certaines petites choses changent. Et encore : avec nos snacks végétariens, continuez de faire comme vous y êtes habitué depuis toujours.
Vous connaissez sans doute la différence entre régime végétalien et végétarien. Ce dernier se passe de viande et de poisson, mais tolère les œufs et les produits laitiers. Le premier, en revanche, évite toute consommation ou utilisation de produits d'origine animale : ni miel, ni produits laitiers, etc.
Si vous avez décidé d'attirer un public aussi large que possible, il est important de proposer des alternatives à ces deux groupes. En comprenant ce qui les distingue et en adaptant clairement le menu, vous augmentez votre attrait pour ces deux groupes de consommateurs.
Conclusion : C'est exact, le régime végétarien diffère du régime végétalien.
Suivre un régime végétarien implique beaucoup d'avantages pour la santé, en particulier au niveau des risques cardiovasculaires et de la tension artérielle. Mais toute médaille a son revers : celui qui ne consomme que des produits d'origine végétale risque d'être confronté à des carences en protéines, minéraux et vitamines. La vitamine B12, par exemple, n'est présente que dans les produits d'origine animale. Fort heureusement, elle est souvent ajoutée aux substituts de viande et aux alternatives au lait. Et puis, beaucoup d'aliments végétaux sont riches en fer et en protéines. Par conséquent, il faut bien choisir son alimentation, en prenant soin de varier ses sources.
Conclusion : Une alimentation végétarienne est bonne pour la santé, si elle est suffisamment variée et si les carences en certains nutriments sont compensées par des sources alternatives.
Suivez-vous un régime moins riche en viande et en produits laitiers ? Alors assurément, vous diminuez votre empreinte écologique et les rejets de CO2. Très bon pour Dame nature, tout ça. Quoique… Une alimentation dépourvue de viande et de produits laitiers n'est pas nécessairement toujours la meilleure pour la planète. Il faut en effet tenir compte d'autres facteurs, comme l'usage des terres, qui joue un rôle important. Il faut également savoir que le bétail fait partie d'un système nutritionnel circulaire écoresponsable. Les experts estiment que dans un scénario idéal, un tiers de l'apport en protéines devrait provenir de produits d'origine animale.
Conclusion : Une alimentation végétarienne contribue à diminuer les rejets de gaz à effet de serre. Mais une alimentation totalement végétalienne peut aussi avoir un impact négatif sur l'environnement.
Certains pensent qu'il suffit de mettre au menu un snack au fromage pour combler la clientèle végétarienne. Eh bien, ce n'est pas tout à fait exact. Car un snack au fromage n'est pas d'office végétarien. Certes, le fromage est préparé à partir de lait, auquel on ajoute souvent de la présure pour l'épaissir et le transformer en fromage. Or justement : la présure contient des enzymes qui proviennent souvent de l'estomac du veau. Donc, pas totalement végétariens.
Dans notre assortiment, les Bouchées Nacho Cheese Mora sont dépourvues de viande et le Soufflé au fromage Van Dobben est préparé sans présure.
Conclusion : Non, un snack au fromage n'est pas d'office végétarien !
Pensez-vous que les citadins soient les seuls à apprécier les snacks végétariens ? Ce n'est évidemment pas le cas. Comme on l'a vu plus haut, 1 consommateur belge sur 3 mange au moins un repas sans viande par semaine. Or seulement 15 % de la population du royaume vit dans une grande ville. Alors forcément, on peut parler de fausse croyance…
Conclusion : À la campagne comme dans la capitale, la demande des consommateurs en savoureuses alternatives végétariennes est partout en croissance.
Maintenant que nous avons tordu le cou à ces divers bobards, vous comprenez mieux que les snacks végétariens sont pour votre établissement une intéressante source d'avantages :
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